Aspirant Alcool-Blanc, disciple pandawan [DEMISSION]

Aujourd’hui, 24 Octoulliard 639 … Je suis maintenant Aspirant mercenaire ! Je changeai de voie, et donc de destin.
Me serais-je douté que l’entretien était si coriace ? Il faut dire … Je l’ai cherché …
Après plusieurs énormes gaffes, mes jambes faisaient autant de bruit qu’un Sram qui claque des dents !
Heureusement que j’avais un bon pantalon épais, qui isole acoustiquement …
D’ailleurs, je me demande pourquoi j’ai eu autant d’appréhension … ils étaient bien sympathiques

Je disais donc que, de gaffes en gaffes, l’entretien se prolongeait … Vers la fin, quand enfin j’étais détendu, je reçus un message télépathique de ma chère et tendre maman qui m’ordonnait de rentrer faire mon lit … Vous avais-je dit que l’aubergiste m’avait expulsé ? Je cite, « Sous trop haute consommation d’alcool » à son goût !
On est Pandawa, ou on n’l’est pas !

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Je me perds dans cet énorme navire, mais j’ai déjà repéré l’endroit où l’on stockait les boissons. (Bien entendu !)
Je regardai, de parchemin en parchemin, ce qui fallait pour être un bon mercenaire …
« J’ai du boulot ! »

Aujourd'hui, 31 Octolliard 639. C'est le jour d'Halouine, mais j'ai encore une tâche à accomplir avant d'aller affronter joyeusment ces pauvres Bouftous.

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L’Amiral Samelio m’avait proposé de remettre en ordre le bar du navire … Un bar ? J’avais tout de suite accepté !
C’est devant cette porte rouillé et branlante que je reconsidérai la proposition … Allais-je l’ouvrir ?

« Tant pis pour la poussière. Entrons ! »

C’est en voyant ce cataclysme que j’eu envie de sauter par-dessus bord … Cela faisait au moins un siècle qu'on ne l'avait point nettoyé !

« Bon, mon vieux, tu vas faire le ménage … »

Tout d’abord, je virai les matelots qui furent assez mécontents.

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Cela faisait une demi-heure que je « lavais » à l’aide d’eau de vie, quand il me vint une idée répugnante, mais sans doute efficace :

« Et si je frottais avec de l’eau ? Ca a un goût tellement horrible que la poussière devrait déguerpir à son contact ! »

Je remontai donc à toute allure sur le pont. Je remplis donc un tonneau, vidé au préalable dans mon gosier, de ce liquide immonde, en prenant soin de ne pas en avaler ...
Bien sûr, comme tout le monde ici (J’espère) je me lave à l’eau douce, mais jamais –oh non jamais !- je n’y ai trempé mes lèvres depuis la cérémonie d’initiation à l’alcool
(Ou plutôt celle du dégout de l’eau pure)

2 heures après, le bar brillait !
Mais il fallut encore me farcir une dizaine d’allers-retours cale/bar avant que le stock soit impec’

« Maintenant, il ne manque plus que les effets personnels ! »

Sur le comptoir, je posai délicatement la photo de mes chers parents, tous deux disciples de Pandawa, Pandinoube –ma mère- et Pandivaurien -mon père-.
Ensuite, derrière la brasseuse, je disposai la photo de ma bien-aimée, une douce fécatte aux yeux d’ambre nommée Keep-Smiling.
Pour finir, j’étendis par terre un tapis orné du blason de ma guilde « Arrancars To Vizards », fondée par un fan de Bli-Tcheuh.

Je pris un verre, dans lequel je donnais un grand coup de poing :
Je ne sais pas si ce fut le son cristallin ou celui que je poussais –qui l’était un peu moins-, toutefois, l’équipage réinvestit sa taverne, nouvellement propre,
sans s’apercevoir de rien.

« Mais qui est l’ivrogne, ici, hein, on se le demande ! »