Histoire d'un Xelor [REFUSE 1]

Bonjour !
Moi c'est Greg-xel ! Je vis sur l'île d'Otomaï avec mes deux bouloutes et mon bwak de terre. Je suis de cercle 109 avec une petite maison dans l'arbre hakam. J'aime l'aventure et surtout les gros monstres à combattre.

Je suis né à Brâkmar, certain affirment que je suis sortis d'un oeuf de dragoeuf et d'autre prétendent que c'est une eniripsa qui ma fait naître, le 1 Octolliard 627.

Alors depuis que j'ai neuf ans, j'étais plus que motivé, je voulais rendre service a tous le monde donc, je suis partis a l'aventure avec ma panoplie du bouftou et quelques pains au blés complet.

Un jour, un bandit du camp des roublards s'est approché vers moi, il m'a piquer mon dernier pain au blés complet.
Je n'avais plus rien a manger, ma panoplie était déchirée.
Quelque jours après, un iop vien vers moi et me propose de lui acheter des kralamours quatre étoiles pour cents kamas chacun, il me restait miles kamas dans mon sac, je lui en pris cinq et il repartit.


Puis, les jours passèrent, les mois passèrent, les années passèrent et soudain, un jour, j'ai fais une connaissance. C'était une gentille madame qui s'appelait Lily. Elle ma donné du pain et ma proposé de m'emmener sur : l' île des Wabbits. Je lui dis d'accord mais il fallait payer cents kamas je lui donnais quand même. Quelque heures après, nous avions touché terre, est c'étais l'Île des wabbits.

Et la, j'étais immobile, fasse à une eniripsa qui me parus familière. Et bien oui ! C'étais l'eniripsa qui me fut naître. Elle vivait sur l'île des Wabbits, elle me demandait se que j'avais fait depuis la dernière fois quel me vit. Je lui disais que je n'ai jamais retrouvé mes parents et se que les gens de Bràkmar disais sur moi. Et tous d'un coup, elle se mit à blêmir des cris horrible et tomba le tête la première dans le sables, elle fit une crise cardiaque. Je l'emmenai voir un docteur "le lenald sage", il me dit qu'elle a juste fais un malaise, rien de plus. Mais je partis quand même.

Je suis allé à la ville de Bonta et j'étais à la rue, sans un kamas, sans rien. Je suis retourné en bâteau sur l'île d'Otomaï quand j'avais onze ans. Je suis allé voir Monsieur Otomaï pour savoir s’il n’avait pas un petit travail a me confié. Il m’a demandé si je pouvais apporter une potion bulbique au Professeur Fournesol contre une petite bourse de kamas. J’acceptai et je lui en apportai une. Ensuite je suis retourné dans ma petite maison et je nourris mes familiers et je fessai le ménage. Je suis resté longtemps a l’intérieur pour en conclure que je devais aller faire quelque course a la ville de Bonta.

Puis, une matinée de pluie, le 27 Octolliard 638, je vis une affiche sur un poteau :
Les Walkyrie recrutent pour travail à tous risque !
Je me suis lancé et j'ai écrit ma candidature, j'attends encore la réponse...
(en espérant être accepté...)

Discrètement Oranginal entra dans la salle des recrutements et laissa un mot..

Malgré mon poste d'aspirant je me permet d'ajouter un simple commentaire: Je ne trouve pas que l'histoire inspire beaucoup le lecteur, quelques pour ne pas dire beaucoup de soucis de français sont présents et malheureusement dans un petit texte on s'expose à une attention plus rigoureuse du lecteur. Je n'ai pas encore compris le premier mot.. "Hello"
Enfin, comme je suis poli je vais dire.. C'est bien tenté d'introduire Lily et son île des Wabbits..! La chute de l'histoire est assez drôle mais.. simple conseil.. vas-y doucement avec ta maman, parce que la perdre comme ça.. c'est triste!

Voilà vous savez tout, pour les représailles vous me trouverez dans un lit.. Mais pas le mien!

Oranginal

Holà navigateurs ! cria Akanaw en arrivant dans le bureau de recrutement.

Dans la caisse étiquettée "postulations à traiter", Akanaw se saisi du premier parchemin et se mit à le lire en silence.....
Quelques instant plus tard, Akanaw alla chercher sa plume au fond de son sac et commenca à écrire :


Cher camarade aventurier, voici mon ressenti concernant ta postulation :

A mon sens, la bienfacture d'un écrit et plus particulièrement d'une postulation, dans un clan comme le nôtre est d'une importance de tout premier plan.
La peine donnée à la création d'une telle demande, doit reflèter une bonne imagination, une forte motivation, et un grand respect pour soi-même, mais également pour les membres du clan appelés à prendre une décision.

Je n'ai pas "croché à ton postulat", qui comporte passablement de fautes, comme déjà relevé par d'autres camarades.

Mon préavis est négatif.

Après avoir visé le parchemin, Akanaw posa sa plume et se laissa tomber lourdement dans un vieux fauteuil de cuir.